Hier, on avait une formation Agile en interne.
J’y participe souvent parce que bien que je n’apprenne plus grand-chose du contenu, je me sens challengé par les réactions et questionnement des participants.
Le formateur utilisait l’image du « petit pas » pour représenter l’itération.
Le pas a une enjambée relativement stable dans la distance, l’itération à une durée relativement stable (elle se veut même « fixe » en Scrum)
La réflexion était de bien faire comprendre que selon le projet ou le contexte, il fallait prendre en considération que si ce pas est « fixe », il faut encore observer certaines variables.
Le pas d’un éléphant, ou de Gulliver, n’est pas celui d’un homme, d’un bébé, d’une fourmi, d’une protéine
( d’une protéine ???
)
Le pas est régulier, mais la distance ? Va-t-on dans le bureau d’à côté, au centre-ville, à Saint-Jaques de Compostelle, (destinations précises) , ou au soleil, à la mer, là où je trouverai Charlie (destination objectif) ?
Le pas est régulier, mais combien y a-t-il de marcheurs ? marchent-ils en cadence ?
Il n’y a aucune question dans cette publication, mais juste des développements de la métaphore du petit pas pour ouvrir plus de question avec les gens.