comment vous faites l’estimation de story point en effort / Complexité. de mon coté j’ai utilisé la suite de Fibonacci mais les story point était défini en fonction de l’effort et la complexité. Est-ce la méthode idéale ?
Ce n’est toujours pas un point évident à l’heure actuelle.
- Certaines équipes étalonnent l’échelle avec des exemples : ajouter un champ dans un objet métier c’est 1, le rendre modifiable c’est 2, avec une règle de gestion simple c’est 3, une règle de gestion pas claire c’est 5, intégration d’une nouvelle techno c’est 13… Certaines équipes font plutôt des tailles de t-shirt (S, M, L, XL…)
- Certaines équipes font des prédictions statistiques à partir du passé, par exemple avec de la simulation Monte Carlo. (voir https://youtu.be/LWLCFmFm2H8) En discutant avec un collègue statisticien, il m’a dit qu’un modèle ARIMA se prêterait mieux, ou que tout simplement une règle de trois n’est pas si déconnante.
- Certaines équipes n’estiment pas. #noestimate
- Je suis partisan d’une alternative plus contextuelle qui s’appuie sur Cynefin : les sujets clairs et compliqués peuvent être estimés en temps, l’exploration des sujets complexes est timeboxé. (voir Estimating Complexity | Liz Keogh, lunivore, Cynefin — Trois points pour s’adapter au contexte | by William Bartlett | Medium et Product Management Contextuel | William Bartlett | Oct, 2023 | Medium)
Je conseille aussi la conférence de Victor Lambret où il passe en revue les articles scientifiques étudient la précision des estimations sur des projets : https://youtu.be/9UG2ZfmBk5M.
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