On est d’accord sur ça. Mon point partait juste de ta proposition sur le fait qu’un echec du à un paramètre qui n’est pas sous ton contrôle (doit) provoque(r) une sentiment positif.
Oui, c’est caricatural. Dans le sens que le sentiment n’est pas forcément positif, mais il ne devrait pas être entièrement négatif. C’est une nuance de gris.
On est d’accord.
Bonjour,
Discussion très intéressante.
Sur la notion d’échec lorsqu’on atteint pas notre objectif fixé, ca m’a fait penser au témoignage d’un moine.
Je partage de plus en plus le point de vue présenté, mais le chemin peut être effectivement très long pour changer notre manière de voir dans notre société.
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Je comprends le sentiment, sauf que quand l’échec entraine des pertes de parts de marché et donc des licenciements économiques derrière, le spiritualisme va pas beaucoup aider. Je remet juste en contexte. D’ailleurs, pour moi, le propos n’est pas le problème. Le problème c’est le système. Ou plus précisément, c’est difficile de faire vivre une approche spiritualiste et une approche productiviste.
Personnellement, je me suis toujours opposé à ce type de pratique.
Je trouve que ça instaure un climat malsain dans une équipe.
Cela incite à l’individualité et pointer les gens du doigt plutôt que d’aborder la responsabilité collective. Des builds qui pètent ou une intégration qui foire doivent nous alerter sur la communication à l’intérieur de l’équipe, sur l’atomisation des tâches, ou la durée des sprints. Au contraire, on devrait y répondre en recherchant plus de solidarité, à affronter l’obstacle en formant une mêlée plus solide.
Hum… Irony was lost in translation 
Malheureusement, je croise régulièrement des gens convaincus que ces pratiques sont positives. Ils n’ont pas conscience du tort qu’il font et sont convaincus que c’est un bon moyen de rendre le travail « amusant ». Je pense que ça mérite d’être dénoncé une fois de temps à autres.
J’ai lu Iron en lisant ton post… comme quoi, l’épée n’était vraiment pas loin 